Votre cerveau nie votre mort : l'illusion qui peut vous coûter la vie
- Gérard PIARD

- 26 sept.
- 1 min de lecture
Notre cerveau sait que « les gens » meurent, mais refuse d’associer « moi » et « mort ».
Une étude du CNRS montre que lorsque des volontaires voient leur propre visage couplé à des mots liés au décès, le cerveau déclenche une réaction de “surprise” et tend à couper le signal, alors qu’il ne réagit pas autant avec un visage inconnu. Ce mécanisme protège de l’angoisse existentielle… mais alimente un biais dangereux : croire que les drames (accidents, maladies, mort) arrivent surtout aux autres, ce qui nous pousse à sous-estimer les risques et à ignorer la prévention.













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