L'anonymat n'empêche pas l'accompagnement, il le facilite
- Gérard PIARD

- 9 sept.
- 1 min de lecture
Parler de la fin de vie ou du rôle d’aidant est souvent difficile. Beaucoup hésitent à franchir le pas par peur d’être jugés, reconnus ou engagés trop vite.


C’est pour lever ces freins que j’ai ouvert une formule d’accompagnement totalement anonyme.
Liberté de parole : vous pouvez tout dire sans retenue, puisque votre identité reste protégée.
Confidentialité absolue : ni nom, ni caméra, ni inscription ne sont demandés.
Simplicité immédiate : un numéro masqué ou un lien Zoom suffisent pour commencer.
Moins de barrières : cette option enlève les excuses habituelles – « je n’ose pas », « ce n’est pas le moment » – car le premier pas ne coûte rien.
Un espace sûr : idéal pour aborder des situations sensibles, poser des questions délicates ou exprimer des émotions intimes.
Accompagnement sur mesure : même dans l’anonymat, vous recevez une écoute bienveillante et des conseils stratégiques adaptés à votre situation.
Évolution à votre rythme : vous pouvez rester anonyme aussi longtemps que vous le souhaitez, ou choisir plus tard une relation plus identifiée.
En choisissant l’anonymat, vous vous offrez un premier pas libérateur : sans contrainte, sans engagement, mais avec la certitude d’être entendu et soutenu.












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